A propos du disque
“… climats nébuleux qui rappellent un certain Miles Davis, évanescences sombre à la Kenny Wheeler, mélodies traversées de souvenirs folkloriques ou de polyphonies vocales… On pourrait dresser la liste des influences, mais elle ne rendrait pas justice à l’originalité des compositions de Kornazov, ni à la liberté de ses acolytes : Emmanuel Codjia, électrisant et brumeux à la guitare ; Stéphane Guillaume limpide au soprano ; Antonio Licusati (basse) et Thomas Grimmonprez (batterie), brillants pourvoyeurs de couleurs ; et en invité de ce quintette Geoffroy Tamisier, aérien et fugace. Un groupe qui rassemble parmi les plus prometteurs musiciens du moments.”
Vincent Bessières, Jazzman n°73, octobre 2001